Les marchés pétroliers ont pris un nouveau coup ce lundi, après une brève hausse la semaine dernière. La raison ? Les tensions croissantes au Moyen-Orient provoquées par l’Occupant à travers une guerre qu’il mène en Palestine. La situation inquiète les investisseurs averses au risque étant donné que les agressions de l’Occupant pourraient entraîner d’autres pays dans le conflit.
Les marchés pétroliers en dents de scie
Le Brent s’est contracté de 0,4 % pour se situer à 90,52 dollars le baril. Pendant ce temps, le brut américain, le WTI (West Texas Intermediate), a suivi la tendance à la baisse en chutant de 0,3 %, atteignant 87,54 dollars les 159 litres. Le tarissement contraste avec la montée fulgurante du brut Brent, qui avait dépassé la barre des 90 dollars le baril enregistrant une hausse de 5,7 % en raison de l’incertitude géopolitique.
L’incertitude géopolitique provient principalement des craintes selon lesquelles l’ensemble de la région pourrait être entraîné dans le conflit, ce qui préoccupe de nombreux analystes financiers.
La récession mondiale évoquée
Le récent ultimatum demandant l’évacuation du nord de Gaza est maintenant échu, et l’Occupant se prépare pour la prochaine phase de ses opérations en convergeant ouvertement vers l’extermination programmée de tout un peuple. La conjoncture actuelle a conduit à une augmentation de la prudence sur les marchés mondiaux, avec une préférence marquée pour les actifs considérés comme des refuges de valeur.
Un article récent de Bloomberg évoque divers scénarios concernant le génocide en ours et avance l’hypothèse que son élargissement pourrait potentiellement entraîner une récession de l’économie mondiale.