Paris, Tunis, Abidjan et Bruxelles… les « Safety Check » de Facebook à deux vitesses

 

La mise en place du « Safety Check », ou « contrôle de santé », par Facebook, lors des attentats de Paris le 13 novembre 2015, a permis à des millions d’utilisateurs dans la capitale française de rassurer leurs proches, et d’affirmer qu’ils sont saints et saufs.

Cette fonctionnalité a été également activée lors des explosions dans l’aéroport de Zaventem et dans la station métro de Bruxelles, survenues hier 22 mars 2016.

L’activation de cette fonctionnalité n’a pas empêché certaines personnes de se plaindre de la mise en place « tardive » du dispositif, cependant, d’autres personnes se sont demandées pourquoi Facebook n’a pas activé le « Safety Check » après l’attentat du Radisson Blu à Bamako, le 20 novembre 2015, l’attentat-suicide terroriste visant un bus de la garde présidentielle tunisienne, le 24 novembre 2015 à Tunis, ou encore lors l’attentat de Grand-Bassam en côte d’ivoire le 14 mars 2016.

Ainsi, seuls quelques pays ont le privilège du « Safety Check »… Un traitement « discriminatoire » que Facebook gagnerait à expliquer.

 

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