Le Président Directeur Général de la Pharmacie Centrale, Lamine Moulahi, a démenti, dans une déclaration à la TAP, l’information sur sa démission à cause de l’affaire des anesthésiants périmés.
A propos de la même affaire, Sofiène Sliti, porte-parole du Tribunal de Première Instance a refusé de révéler à la TAP des détails sur l’avancement de l’enquête, précisant que tout devrait se passer dans la discrétion.
Il a pourtant expliqué dans un communiqué, à propos du décès d’une citoyenne suite à une intervention chirurgicale, que le Ministère Public avait autorisé l’ouverture d’une enquête pour » Homicide involontaire résultant de l’absence de précautions ou de négligence« , suivant l’article 217 du code Pénal.