Lors d’une conférence de presse tenue mardi 14 juillet 2015, Mohamed Jouili, directeur général de l’observatoire national des jeunes a jeté la lumière sur les principaux axes de la nouvelle étude qui a porté sur les pratiques religieuses et l’impact des courants extrémistes sur la pensée des jeunes tunisiens.
D’après un sondage sur la position des jeunes par rapport au courant salafiste en général, environ 34% des jeunes sympathisent avec les salafistes.
Il a par ailleurs affirmé que ces 34% de jeunes veulent que le courant salafiste soit uniquement un courant religieux et non pas un courant politique en Tunisie.
30