Ahed Tamimi risque de passer 10 jours supplémentaires entre les mains de la police sioniste, selon les autorités israéliennes qui veulent avancer dans leur enquête. Le Tribunal sioniste, rappelons-le, a refusé la libération de la jeune militante palestinienne malgré la caution proposée.
L’activiste, rappelons-le, a été arrêtée le 19 décembre 2017 par les soldats israéliens après avoir été malmenée par ces derniers. Ahed Tamimi risque une peine de 7 ans d’emprisonnement. Son cas est similaire à celui de milliers d’autres mineurs palestiniens privés de leur liberté et, également, de leur jeunesse.
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