Le président russe s’en est pris directement, lors de l’assemblée générale de l’ONU, à ses homologues américain et français, qui réclament le départ de Bachar el-Assad.
« J’ai le plus grand respect pour mes homologues américain et français mais ils ne sont pas syriens et n’ont donc pas à être impliqués dans le choix des dirigeants d’un autre pays », a déclaré Vladimir Poutine lors d’une conférence de presse au siège des Nations unies à New York.