Le président russe, Vladimir Poutine, a accusé, lundi 30 novembre, la Turquie d’avoir abattu le bombardier russe près de la frontière syrienne afin de protéger le trafic de pétrole auquel se livre l’organisation État islamique (EI), rapporte Le Monde.
« Nous avons toutes les raisons de penser que la décision d’abattre notre avion a été dictée par la volonté de protéger ces chemins d’acheminement de pétrole vers le territoire turc » a-t-il déclaré.