Sous la présidence d’Ebrahim Raïssi, l’Iran a enregistré des progrès significatifs sur le plan international et économique. Plusieurs initiatives et réalisations ont marqué cette période, redéfinissant le rôle de l’Iran sur la scène mondiale.
L’un des développements majeurs est l’intégration de l’Iran à l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) et aux BRICS. Ces adhésions renforcent la position de l’Iran dans ces importantes alliances économiques et politiques, offrant de nouvelles opportunités de coopération et d’influence au niveau régional et mondial.
Par ailleurs, l’Iran s’est distingué comme un acteur clé dans ses relations avec l’Union économique eurasiatique (UEE), témoignant de la volonté de l’Iran à diversifier ses partenariats économiques et de renforcer ses liens commerciaux au-delà de ses frontières traditionnelles.
Sur le plan diplomatique, l’administration de Raïssi a réussi à renouer et à renforcer les relations avec plusieurs voisins arabes et pays africains. Parmi ces pays figurent l’Arabie saoudite, le Koweït, l’Égypte, la Libye, le Soudan, Djibouti et les Maldives.
En outre, l’Iran a récupéré une dette de longue date auprès du Royaume-Uni. Cette dette de 400 millions de livres sterling, liée à un contrat annulé en 1979 pour la livraison de chars Chieftain, représente une victoire financière et juridique pour Téhéran.
L’économie iranienne a également vu une amélioration notable avec l’augmentation de la production de pétrole, atteignant 3,4 millions de barils par jour. Ce niveau dépasse même celui d’avant les sanctions, reflétant une résilience et une capacité de rebond significative dans le secteur énergétique.
Enfin, sous la présidence de Raïssi, l’Iran a mené pour la première fois une opération militaire d’envergure contre Israël, procédant à un tir de missiles depuis son propre territoire.