Au fur et à mesure que des candidats déposent leurs dossiers à l’ISIE (Instance Supérieure Indépendante pour les Élections) pour accéder à la fonction suprême, nous avons droit à une panoplie de promesses électorales plus ou moins farfelues et irréalisables.
La dernière perle est celle de Maher Khachnaoui, activiste pour les Droits de l’Homme. A sa sortie du siège de l’ISIE, il a annoncé une partie de son programme électoral. « Je suis certain de passer au second tour de l’élection présidentielle [anticipée]. Lorsque j’aurais gagné, je fermerais toutes les ambassades qui refuseraient d’octroyer un VISA aux jeunes tunisiens. Cela s’inscrit dans le cadre de la réponse graduée », a-t-il déclaré sur Mosaïque FM.
Faire des promesses pour faire des promesses, c’est, en quelque sorte, la tendance actuelle chez les candidats à la fonction suprême.