L’association a signalé que cette nouvelle loi autorisait la garde à vue prolongée des personnes soupçonnées de terrorisme, affaiblissait leurs garanties judiciaires et prévoyait la peine de mort.
« Certaines dispositions du projet de loi risquent de mener à d’importantes violations des droits humains », déplore Eric Goldstein, directeur adjoint de la division Moyen Orient et Afrique du Nord de Human Rights Watch.
Il est à rappeler que le gouvernement a soumis le projet de loi antiterroriste- 139 articles- aux Représentants du Peuple le 26 mars dernier. L’ARP n’a pas encore fixé une date pour l’examiner.