Il semblerait que notre pays souffrira longtemps de ce florilège de mauvais perdants aux élections législatives et présidentielle de 2014. Désormais sans poids politique, leur discours se limite aux injures, à la déformation de la vérité, à la falsification de l’histoire, à l’appel à la haine, et à l’élimination des adversaires politiques, faisant des réseaux sociaux leur seule arène. A l’instar de son ancien patron au CPR, Moncef Marzouki, Samir Ben Amor, ne cesse d’insulter l’intelligence des Tunisiens en leur faisant croire que l’ère de la troïka était la belle époque de l’histoire moderne de la Tunisie alors que tout le monde sait que c’était l’un des pires épisodes de l’histoire du pays. Le chouchou de Marzouki a considéré que la fête de la femme n’est qu’une fête folklorique pour améliorer l’image « d’un régime corrompu« . Dans son post, Ben Amor s’est attaqué à Bourguiba écrivant que » le Zaïm qui n’a pas arrêté de parler de la femme et du Code du statut personnel s’était marié avec Mathilde dans un contexte difficile ». Il raconte que cette femme avait supporté tous les dérapages du Zaïm avant d’être jetée dans la rue et laisser sa place à Wassila Ben Ammar, « sa maîtresse« . Samir Ben Amor ira jusqu’à accuser l’ancien président de pédophilie en faisant croire que « le rôle de Allala Laouiti se limitait à lui fournir des mineures pour assouvir ses caprices« .
La haine que le Cépériste a envers Bourguiba semble ne pas avoir de limite, et ne prend même pas en considération le fait que tous ceux qu’il cite sont morts.
Incapables de rivaliser et de faire le poids avec leurs adversaires politiques, les anciens Cépéristes s’attaquent à l’honneur et à la vie privée des autres car ils ne peuvent pas faire mieux étant donné leur lâcheté et leur faillite politique.
