Que risque le candidat qui a bénéficié d’un financement étranger ?


La présidente de chambre à la cour des comptes a précisé à la TAP que cinq ans de prison et une amende variant entre 10 à 50 fois le montant de la valeur des fonds provenance de l’étranger seront infligés aux candidats à la présidentielle 2014 dont il sera établi par la justice qu’ils ont reçus ces fonds.

On rappelle que Le rapport relatif au contrôle du financement des campagnes électorales présenté récemment par la Cour des Comptes à la présidence de la République a révélé que l’un des candidats aux élections présidentielles de 2014 avait reçu des fonds de l’étranger par le biais de son association.

Related posts

Après un mois d’arrêt, Ons Jabeur se relance à Madrid

Le ministère de la Santé veut combler les écarts en matière de soins dentaires

La Tunisie récupère plus de 11 000 pièces archéologiques conservées aux États-Unis depuis 1990