Pas moins de 190 partis politiques ont reçu une mise en garde de la part du ministère des Droits de l’Homme, chargé des relations avec les instances constitutionnelles et avec la société civile. Ces partis sont appelés à régulariser leur situation en ce qui concerne les infractions dont ils sont les auteurs. C’est ce qui ressort d’un communiqué publié mardi 28 juillet 2020 par le département des Droits de l’Homme.
Ces infractions sont relatives à des rapports financiers, aux sources de financements et aux dépenses. « En coordination avec le chargé des contentieux de l’État, des autorisations judiciaires ont été accordées aux autorités compétentes en vue de suspendre l’activité de 29 partis politiques, dont 12 partis qui risquent d’être dissouts », lit-on dans le communiqué du département des Droits de l’Homme.
Dans ce contexte, les partis politiques en infraction sont appelés à régulariser leur situation d’après la même source.
30