Le porte-parole du parti « Attahrir », Ridha Belhadj, a déclaré que son parti n’a reçu, jusqu’à présent, aucune lettre officielle de la part du gouvernement concernant le délai qui lui aurait été imparti pour réviser ses statuts et son discours conformément à la constitution.
Lors d’une déclaration accordée au quotidien Assabah, Ridha Belhadj a souligné que son parti est légal et que, de ce fait, personne ne peut lui imposer quoi que ce soit. « Le gouvernement demande des comptes à notre parti pour sa réussite », a-t-il ajouté.
Pour lui, cette décision est prise vise surtout à distraire l’opinion publique de certains dossiers brûlants et antres « scandales » comme celui d’autoriser des étrangers à enquêter avec des cadres sécuritaires dans l’attentat de Sousse.