Vendredi soir, les territoires occupés ont été la cible d’une attaque iranienne d’envergure, marquant une escalade sans précédent dans les tensions entre l’Iran et l’entité sioniste. Selon plusieurs sources militaires et médiatiques, des dizaines de missiles balistiques ont été tirés depuis l’Iran, dans ce qui semble être une réaction directe à des opérations israéliennes récentes sur le sol iranien.
L’attaque s’est déroulée en plusieurs vagues successives. Les missiles visaient des sites stratégiques dans les territoires occupés, notamment des bases militaires, des centres de commandement et, selon certaines sources non confirmées, des infrastructures gouvernementales.
Des alertes ont retenti dans plusieurs régions, notamment autour de Tel-Aviv, Haïfa et dans le sud du pays. Des sirènes d’alerte ont été activées à grande échelle, provoquant un mouvement de panique dans certaines zones urbaines densément peuplées.
Face à cette offensive d’ampleur, les forces israéliennes ont immédiatement déployé leur système de défense antimissile, mobilisant le Dôme de fer (Iron Dome) pour les menaces à courte portée, ainsi que les systèmes Arrow 2 et Arrow 3, conçus pour intercepter des missiles balistiques à haute altitude.
Bien que plusieurs missiles aient été interceptés avec succès, des failles ont été constatées : certains projectiles ont réussi à échapper aux boucliers antimissiles et ont touché le sol, provoquant des explosions et d’importants dégâts matériels. Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montrent des bâtiments endommagés et des incendies dans certaines zones.
Cette attaque iranienne survient en riposte aux agressions perpétrée par l’Etat hébreu dans la nuit du jeudi à vendredi contre plusieurs sites militaires iraniens ainsi qu’à l’assassinat des hauts responsables militaires et des avants iraniens.
L’attaque balistique lancée vendredi soir par l’Iran contre les territoires occupés s’inscrit clairement comme une riposte directe aux frappes menées par l’État hébreu dans la nuit du jeudi à vendredi contre plusieurs sites militaires iraniens stratégiques.
Les frappes israéliennes ont visé des bases militaires sensibles, des centres de commandement, ainsi que des dépôts d’armement situés à Téhéran, Ispahan et dans la province de Kermanshah. Les attaques auraient également ciblé des sites liés au programme nucléaire iranien, provoquant des dégâts importants.
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