L’agence de notation Standard & Poor’s vient de porter un sérieux coup à la note souveraine de l’Occupant génocidaire. Face à l’extension et l’exportation de l’extermination programmée et systématique de la population arabe, l’agence a abaissé la note de la dette à long terme du pays, exprimant ainsi ses inquiétudes quant à sa stabilité économique et financière.
L’invasion terrestre du Liban par les forces armées de l’Occupant, en sus du génocide des Palestiniens, ont pesé lourdement sur la décision de S&P. L’agence anticipe une prolongation et une intensification des crimes menés par l’entité paria, avec des conséquences désastreuses pour sa propre sécurité. Les attaques à répétition et les risques de représailles pourraient ainsi freiner la reprise économique et accroître la dette publique.
Les prévisions économiques se sont considérablement dégradées. En effet, S&P prévoit désormais une stagnation de la croissance en 2024, contre une prévision initiale de +5%. Le déficit budgétaire, quant à lui, devrait se creuser sous l’effet de la hausse des dépenses militaires.
La riposte iranienne de mardi dernier a encore aggravé la situation pour l’Occupant et sa conjoncture. Selon S&P, cet événement pourrait retarder la reprise économique et augmenter les risques de nouvelles escalades.
Il sied de souligner que l’agence de notation Moody’s avait déjà abaissé la note de l’entité paria en début d’année. Cette nouvelle dégradation, couplée à une perspective négative, souligne l’inquiétude croissante des marchés financiers face à la situation sécuritaire et économique du pays.