C’est officiel, deux ans après le premier cas de rémission souffrant du virus mortel VIH, des chercheurs ont annoncé la guérison d’une deuxième personne. Il s’agit du « Patient de Londres ». Ce dernier ne présente aucun signe d’atteinte du virus depuis près de dix neufs mois, annonce la directrice de l’Institut Doherty et professeure à l’université de Melbourne Sharon R. Lewin.
En effet, les deux patients en question ont été sujets d’une transplantation de la moelle osseuse pour traiter des cancers du sang tout en recevant des cellules souches de donneurs ayant une mutation génétique rare qui empêche le VIH de s’installer.
En faisant une approche tout à fait similaire, les chercheurs du même institut ont constaté la non présence d’anomalie.