Le raid américain qui a visé, vendredi 19 février, un camp d’entrainement de combattants de l’organisation terroriste Etat Islamique et lors duquel 41 personnes ont trouvé la mort fait encore couler de l’encre. Une des principales questions posées après ce bombardement est celle concernant la présence d’Abou Iyadh, chef de l’organisation « Ansar Chariaa », dans le campement bombardé.
Des sources libyennes ont affirmé que ce dernier n’était pas parmi les morts de ce raid. Les révélations des blessés et les analyses ADN des cadavres viennent corroborer ces déclarations. Selon les mêmes sources, pour éviter toute localisation, le leader d’Ansar Chariaa évite les réunions et les camps terroristes.