La porte-parole du la Présidence de la République, Saïda Garrach, a assuré, ce lundi 28 mai 2018, qu’il a été décidé officiellement de suspendre les travaux du processus du Pacte de Carthage 2 et de la reporter à une date ultérieure sur décision du Président de la République, Béji Caïd Essebsi.
Elle a, dans ce contexte, précisé que cette décision a été prise à cause du conflit persistant concernant le 64ème point relatif au départ de Youssef Chahed du Gouvernement.
C’est toujours l’impasse. La réunion n’aura finalement duré qu’une trentaine de minutes avant que le Chef de l’Etat ne décide de la suspendre. Il semble que cette suspension concernerait le processus du Pacte de Carthage 2 lui-même selon les bruits des couloirs, ce qui amplifie le flou qui règne sur la scène politique.
La tension était palpable ce lundi. C’est Hafedh Caïd Essebsi, directeur exécutif auto-proclamé de Nidaa Tounes, qui se serait attaqué à tous ceux qui étaient favorables au maintien de Youssef Chahed à la tête du gouvernement d’union nationale. Le fils du président de la République était soutenu par Noureddine Taboubi, secrétaire général de l’UGTT, et Radhia Jeribi, présidente de l’Union Nationale des femmes tunisiennes (UNEF).
L’ambiance était trop tendue et c’est ce qui aurait poussé le Chef de l’Etat à tout arrêter, processus du Pacte Compris.
Elle a, dans ce contexte, précisé que cette décision a été prise à cause du conflit persistant concernant le 64ème point relatif au départ de Youssef Chahed du Gouvernement.
C’est toujours l’impasse. La réunion n’aura finalement duré qu’une trentaine de minutes avant que le Chef de l’Etat ne décide de la suspendre. Il semble que cette suspension concernerait le processus du Pacte de Carthage 2 lui-même selon les bruits des couloirs, ce qui amplifie le flou qui règne sur la scène politique.
La tension était palpable ce lundi. C’est Hafedh Caïd Essebsi, directeur exécutif auto-proclamé de Nidaa Tounes, qui se serait attaqué à tous ceux qui étaient favorables au maintien de Youssef Chahed à la tête du gouvernement d’union nationale. Le fils du président de la République était soutenu par Noureddine Taboubi, secrétaire général de l’UGTT, et Radhia Jeribi, présidente de l’Union Nationale des femmes tunisiennes (UNEF).
L’ambiance était trop tendue et c’est ce qui aurait poussé le Chef de l’Etat à tout arrêter, processus du Pacte Compris.