Le ministre des Finances, Mohamed Nizar Yaïche a reçu ce jeudi 16 avril 2020, Taïeb Zahar, président de la Fédération tunisienne des directeurs de journaux (FTDJ) accompagné de Mohamed Laâroussi Ben Saleh, directeur exécutif de la Fédération.
La rencontre a permis de débattre des difficultés que rencontre la presse écrite en Tunisie engendrées par les répercussions de la propagation du Covid-19. Un virus ayant infecté, selon un dernier bilan officiel, 780 personnes et coûté la vie à 35 autres en Tunisie.
A cette occasion, Taïeb Zahar a exposé les obstacles notamment ceux financiers auxquels le secteur fait face depuis des années .
De son côté, le ministre des Finances a affirmé l’appui qu’apporte l’Etat au secteur médiatique relevant qu’il interagira positivement avec les propositions fournies par la FTDJ en vue de soutenir les établissements médiatiques sinistrés.
Revenant sur la situation de la presse écrite surtout en période de confinement avec la suspension de l’édition des journaux, Taïeb Zahar a relevé les conditions précaires inhérentes au secteur.
Signalons qu’invité d’Al Wataniya 1 le soir du 15 avril 2020, Taïeb Zahar avait souligné les conditions précaires inhérentes au secteur médiatique. L’absence de la publicité ainsi que la suspension des ventes et des abonnements – les deux relatives au confinement- en sont la cause.
Taïeb Zahar avait, par ailleurs, dénoncé les tergiversations des différents gouvernements qui se sont succédé après la Révolution et leur mutisme face à la crise du secteur médiatique. Il avait exhorté le Parlement à accélérer l’approbation du projet de loi portant création de l’agence nationale de gestion de la publicité publique et des abonnements ainsi que le Fonds de digitalisation des médias estimé à 5 MD.
Il avait, de surcroît, appelé l’Etat à contribuer à la rémunération des salariés dans le secteur médiatique. Une contribution évaluée à 1,8 MD.
Signalons qu’invité d’Al Wataniya 1 le soir du 15 avril 2020, Taïeb Zahar avait souligné les conditions précaires inhérentes au secteur médiatique. L’absence de la publicité ainsi que la suspension des ventes et des abonnements – les deux relatives au confinement- en sont la cause.
Taïeb Zahar avait, par ailleurs, dénoncé les tergiversations des différents gouvernements qui se sont succédé après la Révolution et leur mutisme face à la crise du secteur médiatique. Il avait exhorté le Parlement à accélérer l’approbation du projet de loi portant création de l’agence nationale de gestion de la publicité publique et des abonnements ainsi que le Fonds de digitalisation des médias estimé à 5 MD.
Il avait, de surcroît, appelé l’Etat à contribuer à la rémunération des salariés dans le secteur médiatique. Une contribution évaluée à 1,8 MD.