Terrorisme: mise en garde contre le fait de ne pas dénoncer les mouvements douteux

Dans une déclaration accordée à l’agence TAP ce mardi 17 juillet 2018, le porte parole du pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme Sofiene Sliti a souligné que tout citoyen, possédant des informations portant sur  la présence de menaces terroristes, doit forcément s’adresser immédiatement aux autorités judiciaires concernées, estimant que ces dernières sont la seule partie apte à mener les investigations nécessaires à cet effet, et non pas les réseaux sociaux.
Il a ajouté que le ministère public près le pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme a décidé de maintenir une jeune fille en état de liberté après l’avoir interrogée par rapport aux récentes déclaration de la directrice du centre international des études stratégiques sécuritaires et militaires Badra Gaaloul liées à l’attentat de Ain Soltane dans la délégation de Ghardimaou. Il a ajouté que la direction générale de la sûreté nationale à Al Gorjani a été chargée de poursuivre les enquêtes sur ce dossier.
Sofiene Sliti a par ailleurs indiqué que toute personne s’abstenant de livrer des informations liées à la lutte contre le terrorisme aux autorités concernée, risque de faire l’objet de poursuites judiciaires et ce, conformément à la loi de lutte contre le terrorisme et le blanchiment d’argent.

 

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