L’attentat contre l’impérial Marhaba, à Sousse, a compromis l’espoir pour la destination touristique Tunisie de renouer avec un semblant de reprise. Une attaque terroriste intervenue, à la veille de la haute saison qui représente les deux tiers du chiffre d’affaires, dans un pays où cette activité représente environ 7% du PIB et quelque 400.000 emplois directs et indirects.
Administration et professionnels ont vite réagi. La première par des mesures exceptionnelles, mais largement controversées, et les seconds par un intérêt soudain affiché, au tourisme intérieur, qui a souvent servi comme la 5e roue du carrosse. Un créneau pourtant porteur, mais laissé à la traîne depuis des années, et dont on ne se rappelle que quand il y a anguille sous roche.
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