Un étudiant de 22 ans a écopé, mardi 22 septembre 2015, à Tunis d’un an de prison ferme, et ce, après avoir subi un test anal qui a confirmé son inculpation pour sodomie.
Le jeune a été convoqué comme témoin, mais après avoir fouillé dans son téléphone, on a découvert des textos explicites concernant ses choix sexuels. Le procureur de la République réclame alors un test anal.
On note que des associations LGBT, dont Shams, ont condamné cette décision et ont mené une campagne contre, ce qu’ils ont appelé « les tests de la honte »
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