Le porte parole de l’institut arabe des chefs d’entreprises, Mejdi Ben Hassen, a mis l’accent sur la nécessité de procéder à un audit global visant les sociétés offshore en Tunisie. Il a précisé que plusieurs parmi ces entreprises n’ont pas d’employés ce qui suscite les suspicions quant à l’éventuelle exploitation de ces sociétés dans des réseaux de blanchiment d’argent. Le nombre de ces sociétés s’élève à 1200 selon les dernières statistiques.