L’ancienne maire de Tabarka, Amel Aloui, a été condamnée à 18 mois de prison par le Tribunal de première instance de Jendouba, en vertu du décret 54.
Elle a annoncé cette décision sur les réseaux sociaux jeudi 11 juillet 2024, précisant qu’elle a été accusée de diffamation pour avoir dénoncé les agissements d’un homme d’affaires local. Selon Aloui, cet entrepreneur aurait pris possession d’un terrain d’État destiné à la construction d’un collège, sans aucune intervention des autorités.