Dans le cadre de sa guerre contre le terrorisme, le ministère de l’intérieur a réussi – depuis le début de l’année 2015 à ce jour- à bloquer 130 pages sur les réseaux sociaux, que ce soit sur Facebook ou Twitter.
Les autorités ont arrêté également près de 223 individus, gérant ces pages, qui ont reconnu leur crime d’incitation à la violence et au terrorisme.
Actuellement, plus aucun internaute ne pourrait avoir accès aux pages accusées de « faire l’apologie du terrorisme telles que « Ifriqiya Lil I3lém », « Adhi’ab al mounfarida » ou autres…