Lors d’une journée scientifique organisée au local de Beit El Hekma, l’Institut National des Statistiques a annoncé que près de 3.000 enfants en Tunisie présentent des signes d’intelligence précoce. Ces enfants, âgés entre 4 et 15 ans, devraient être encadrés, selon la pédopsychiatre Fatma Charfi, et l’Etat doit mettre en oeuvre une pédagogie éducative pour ces enfants.
Lors de cette rencontre, la professeure en pédopsychiatrie Asma Bouden a indiqué que 50% de ces enfants surdoués rencontrent des difficultés d’apprentissage comme l’ennui en classe et la dépression, et ce à cause du cadre inadéquat dans lequel ils se trouvent.