« Nous n’accepterons pas que la paix sociale pèse uniquement sur les salariés et sur les plus faibles », a déclaré Samir Cheffi, secrétaire général-adjoint de l’UGTT dans une déclaration aux médias, assurant que la centrale syndicale ne veut pas créer un climat de tension dans le pays.
Samir Cheffi considère qu’une paix sociale solide se construit sur la base du dialogue et du respect des accords conclus. « Il faut donner aux faibles et aux travailleurs leurs pleins droits, car la pauvreté et la dégradation du pouvoir d’achat ont atteint des niveaux alarmants », a-t-il encore ajouté.
Le secrétaire général-adjoint de l’UGTT a affirmé, par ailleurs, qu’il était inadmissible de porter l’intégralité du poids de la dure conjoncture sur les travailleurs. « C’est un procédé dépassé dont on connaît les mauvais résultats », a-t-il dit, après avoir insisté sur l’importance de l’instauration d’un « vrai débat sociétal ».
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