Le dernier passage du chroniqueur Mohamed Boughaleb dans La Matinale de Shems FM n’a pas échappé aux internautes, notamment pour la manière dont sa note du jour y a été présentée. Le chroniqueur a narré, en larmes, l’histoire d’une mère de deux enfants autistes qui lui a raconté son calvaire quotidien et la misère dans laquelle elle vit.
« Une mise en scène » selon certains internautes, qui ont considéré que Mohamed Bougaleb s’était efforcé à verser des larmes, conformément à « une nouvelle mode héritée par les journalistes des hommes politiques ».
Coup monté ou pas, l’histoire du chroniqueur devrait donner à réfléchir quant à l’état déplorable dans lequel vivent plusieurs de nos concitoyens. D’ailleurs, un examen de conscience s’impose à tous et le chroniqueur l’a souligné : « je donne un 0 à tous, y compris à nous-mêmes, pour notre nonchalance, notre égoïsme et pour les chiffres qui dissimulent ces cas », a-t-il déclaré, en larmes.
Il est certain que l’on peut ne pas être d’accord ou ne pas apprécier le chroniqueur ou sa chronique, ses coups de gueule ou ses appréciations, mais il est plus que certain que l’on ne peut mettre en question sa sincérité. C’est une leçon de vie qu’il a raconté et tous sommes appelés à y réfléchir.
Pour le reste, la chose la mieux partagée, aujourd’hui dans notre pays, est ce qu’un grand monsieur qui a préféré quitter ce monde, appelé « Ettanbir ». Parole d’un Nabbar Chef ».
Bravo au collègue sans complaisance.
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