Walid Jalled, député du mouvement « Tahya Tounes » , a déclaré ce jeudi 5 décembre que « le paysage parlementaire n’honore pas la Tunisie et n’est pas de bon augure » qualifiant dans une interview dans l’émission » Houna Shems » ce qu’il a décrit comme étant la montée de la violence dans la société, qui s’est reflétée au parlement.
Walid Jalled a déclaré que le niveau élevé de violence dans le pays menace le processus démocratique et représente un danger pour les libertés en Tunisie.
L’invité de Shems FM a lancé un cri d’alarme et appelé les sages et les intellectuels du pays à intervenir et assumer leurs responsabilités devant la recrudescence de la violence que connaît de la société tunisienne.
Dans son intervention, Jalled faisait référence à la querelle qui a suivi les propos de Jamila Ksiksi, députée d’Ennahdha qui avait traité les députés du PDL de « clochards » et de « bandits » lors de la séance plénière de mardi à l’ARP consacrée à l’examen du projet de loi de Finances complémentaires 2019.