La présidente de l’organisation patronale considère inconcevable de puiser dans les sociétés privées qui paient leurs impôts pour remplir les caisses de l’Etat. « On ne peut continuer avec une imposition qui change d’une année à l’autre. Cela constitue un frein pour l’investissement, l’exportation et l’emploi », explique-t-elle, brandissant même la menace de grève. « Les entreprises privées peuvent aussi faire grève », annonce Wided Bouchamaoui, qui déclare que le bureau exécutif de l’UTICA se réunira prochainement pour étudier les formes de mobilisation.