L’économie informelle coûte très cher à l’Etat : elle représente plus de 50% de l’économie. Une conférence de presse a été organisée au siège de l’UTICA autour de cette question cruciale. Présente lors de cet événement, Wided Bouchamaoui a insisté sur l’importance du combat contre l’économie informelle et la contrebande.
« C’est une question vitale. Si on ne fait rien, tout le monde se mettra à l’économie informelle. Il n’y aura plus d’investissement et, par conséquent, plus d’emplois », a déclaré Wided Bouchamaou.
Par ailleurs, la présidente de l’UTICA a affirmé que l’organisation souhaite protéger et les entreprises et les travailleurs. « Nous voulons protéger les plus démunis, leur donner du travail, mais dans le respect de la loi », a conclu Wided Bouchamaoui.