Amnesty International appelle par ailleurs le président Saïd et les autorités compétentes à mettre fin à l’usage des interdictions arbitraires de voyager, et à respecter la liberté de mouvement garantie par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, tous deux ratifiés par la Tunisie, toute restriction à ce droit devant se révéler nécessaire et proportionnelle.


