L’Alzaheimer, en l’occurrence, est une véritable maladie sociopolitique comme celle dont souffrent les élites en Tunisie. C’est l’hypothèse qui a été avancée par Farhat Othman et qui était au centre de son 4ème ouvrage sur la question. Un livre riche et intéressant, dont voici la présentation.
L’historique de cette affection ayant déjà fait l’objet d’un essai sociologique, l’auteur raconte ici par le menu ses affres au jour le jour avec de précieux conseils aux accompagnants sur la meilleure pratique à adopter, une science du cœur qualifiée de bécothérapie comme culture des sentiments bienfaisants.
Avec le vieillissement cérébral précoce et problématique qu’est l’Alzheimer, la thérapie des bisous se veut une parade efficace de ce mal incurable, mais aussi pour le vrai Alzheimer qui est plutôt sociopolitique. Ces deux types d’Alzheimer imposent une prise en charge précoce de tous les aspects de la vie de l’individu depuis l’enfance en vue de lui assurer un équilibre psychologique et psychique, protection avérée contre les risques d’apparition du terrible mal. »
L’ouvrage, à titre d’information, est disponible en librairie, chez son éditeur et sur Amazon.