Ayant peiné à débuter, le dialogue national est aussitôt suspendu. Voilà que depuis l’assassinat de Mohamed Brahmi, opposition, quartet et gouvernement ont été en négociations laborieuses avant d’annoncer leur accord…
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La Tunisie ne cesse de compter ses morts dans les rangs des forces de l’ordre. Banalisées, voire justifiées, au lendemain de la Révolution, les attaques à leur encontre, nourries par la colère populaire, cèdent la place à des agressions criminelles et planifiées. Aujourd’hui, elles font partie d’un plan terroriste visant à mettre le pays à genoux.
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Pour que le dialogue national soit à la hauteur des espoirs
Par La RédactionPar La RédactionEnfin, le dernier obstacle au démarrage du dialogue national a été levé avec la lettre de Laarayedh à H. Abbassi annonçant, après de longues tergiversations, l’acceptation de la démission du gouvernement dans le délai prévu par la feuille de route du Quartet de la société civile.
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Le dialogue national semble se dénouer avec l’engagement du Premier ministre à démissionner d’ici à trois semaines. Payée au prix fort par nos agents de sécurité tués à Goubellat, Menzel Bourguiba, Sidi Ali Ben Aoune (…), la résolution de la crise est peut-être en cours
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Le 20 mars 1956 marque l’indépendance politique tunisienne, pour autant, l’armée française est restée bien présente sur le sol tunisien. Un État n’est souverain que lorsqu’il établit sa totale indépendance militaire et territoriale, tel n’était pas le cas de la Tunisie.
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«Nous ne quitterons le pouvoir que par un coup d’État », a déclaré le « très modéré » ministre des Droits Humains et de la Justice Transitionnelle, Samir Dilou, en réaction aux marches et aux sit-in organisés durant la semaine précédant la réouverture du dialogue national et exigeant l’application de la feuille de route du Quartet.
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L’élimination de 9 terroristes et l’arrestation de 4 autres ont suscité un grand soulagement chez les Tunisiens. Pourtant, les forces de l’ordre restent en état d’alerte après les évènements terroristes de Goubellat.
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Le combat pour la liberté d’expression continue…
Par La RédactionPar La RédactionLes journalistes tunisiens ont proposé, dans une ambiance mêlée de tension, d’inquiétude et de détermination, une série de mesures afin de maintenir la pression sur le gouvernement. Objectifs : obtenir le renouvellement de la carte de presse et mettre fin aux atteintes à la liberté d’expression. C’était lors de l’Assemblée générale ordinaire du Syndicat des journalistes tunisiens (SNJT) organisée le vendredi 27 septembre dernier pour se concerter sur la situation du secteur de l’information. Focus.
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Interview croisée avec Pierrette Ben Dhia et l’avocat d’Abdelaziz Ben Dhia, Ali El Khaldi
Par La RédactionPar La Rédaction« Mon mari est malade, il est temps de le libérer » Inculpé dans l’affaire de financement du RCD depuis février 2011, Abdelaziz Ben Dhia, ancien ministre-conseiller de Ben Ali est incarcéré…
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La Libye post-Kadhafi peine à se reconstruire. En dépit de la crise qu’a connue le pays après le règne de l’ex-dirigeant Muammar Kadhafi, tué par les rebelles en octobre 2011, le pays n’est pas actuellement en «faillite», assure le Premier ministre libyen, Ali Zeidan. Désormais, l’un des créneaux susceptibles de promouvoir le secteur économique du pays : le tourisme. Mise au point.