Dans un communiqué rendu public, le ministère de la Culture est revenu sur le courriel intitulé « vers un cadre juridique pour les artistes et les créateurs en Tunisie », dans lequel il y avait des fautes de traduction de l’arabe en français.
Le courriel « n’engage en rien ni le ministère ni sa cellule de communication et il s’agit d’un acte mal intentionné qui reflète les dérives de l’utilisation d’Internet », a expliqué le communiqué.
Le ministère de la Culture a promis de prendre les mesures nécessaires pour améliorer la sécurité de ses correspondances électroniques.